MikaPeut-on encore battre Binance ? Chaque statistique renforce son trône. Depuis huit ans, la plateforme écrase ses rivales. Les chiffres, eux, ne mentent pas. L’empire crypto continue de croître.
Binance, un pactole soutenu par des chiffres affolants
En 2024, Binance a généré 16,8 milliards de dollars de revenus, une hausse de 40 % sur un an. Et ce n’est pas tout : 60 000 bitcoins dorment dans ses coffres, avec 6 milliards de dollars de gains latents. Cela correspond à un niveau record de profit non réalisé.
Même si l’on reste loin des sommets de 2021, le volume échangé en 2024 a atteint 1 000 milliards de dollars sur les marchés spot. Signe que Binance garde la main, avec des flux colossaux. La plateforme affirme : « Notre base d’utilisateurs atteint 270 millions dans le monde. Et elle continue de croître ».
Les chiffres varient selon les sources, mais convergent vers une même réalité : Binance surclasse la concurrence. Même les hausses réglementaires ou les crises de confiance n’ont pas freiné sa dynamique.
8 ans d’expansion crypto : un modèle qui plaît (encore)
Créée en 2017, Binance a su séduire tous les profils d’investisseurs. Jeunes, retraités, familles ou entreprises, tous cherchent un point d’entrée sûr dans l’univers crypto. Et Binance offre cela : des frais réduits, une application intuitive, et des outils adaptés.
Elle ne se contente pas d’être une place de marché. Elle est aussi un formateur. Entre ses modules éducatifs, ses rapports de marché, et son service client actif, Binance rassure. Elle s’adresse autant aux curieux qu’aux traders aguerris.
Forbes résume la situation : « Binance domine le trading crypto mondial en 2025 malgré la concurrence accrue ». La plateforme n’essaie pas seulement de suivre le rythme. Elle le dicte.
Mais en coulisse, des challengers affûtent leurs armes. Des exchanges crypto centralisés, ou CEX, comme OKX, Bybit ou Bitget tentent de séduire, innovent sur les frais ou le trading social. Elles grignotent, lentement mais sûrement, des parts de marché. Le géant le sait : rester numéro 1, c’est aussi rester en mouvement.
